Développer un modèle de décriminalisation qui répond aux besoins des personnes qui consomment des drogues

Une exemption doit s’appliquer à toutes les substances inscrites aux annexes de la LRCDAS, à toutes les quantités de substances dont la possession est destinée à un usage personnel et à tous les cas de transfert de drogues en quantités inférieures aux limites spécifiées, et ne doit pas inclure d’autres restrictions ou conditions inutiles qui compromettraient les bienfaits de la décriminalisation.

Nous vous écrivons aujourd’hui pour vous exhorter à développer un « modèle de Vancouver » pour la décriminalisation qui soit suffisamment large et qui réponde aux aspirations et aux besoins des personnes qui consomment des drogues. Principalement, une exemption doit s’appliquer à toutes les substances inscrites aux annexes de la LRCDAS, à toutes les quantités de substances dont la possession est destinée à un usage personnel (quelle que soit la quantité possédée) et à tous les cas de transfert de drogues (p. ex., division, partage, vente) en quantités inférieures aux limites spécifiées, et ne doit pas inclure d’autres restrictions ou conditions inutiles (administratives ou autres) qui compromettraient les bienfaits de la décriminalisation.

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Advocating for public health- and human rights-based drug policy grounded in evidence, compassion, and social justice